Forum Lyme Francophone

Cats claw inhibits TNF? production and scavenges free radicals role in cytoprotection

...a remarkably potent inhibitor of TNF? production

Anti inflammatory and antioxidant activities of cat s claw and are independent of their alkaloid content .

...the presence of oxindole or pentacyclic alkaloids did not influence the antioxidant and antiinflammatory properties of cat's claw

Antiinflammatory actions of cat's claw the role of NFkappaB.

Cat's claw protects cells against oxidative stress and negated the activation of NF-[kappa]B. These studies provide a mechanistic evidence for the widely held belief that cat's claw is an effective anti-inflammatory agent.

Ich habe eine "gesicherte" persistierende Neuroborre mit Yersinen- und
Chlamydien-Ko-Infektion. Diese besteht seit 1999.

Ich hatte schon einige Antibiosen. Darunter Ceftriaxon, Gasser,
Doxycyclin, Ciprofloxacin, Clarithromycin.
Doxy und Cipro haben überhaupt nichts gebracht. Cef, Gasser und Clari
haben einiges gebracht, aber es kam relativ schnell wieder zu Rückfällen.
Irgendwann hatte ich und mein Darm genug von den Antibiosen. Es ist
frustrierend, wenn man sich mit Antibiotika vollstopft, aber keine
dauerhafte Besserung eintritt. Aber ihr kennt das ja nur zu gut.

Heute geht es mir gut. Das Samento nehme ich jetzt seit 8 Monaten,
zeitweise zusammen mit Karde. Seit 4 Monaten aber nur noch Samento.
In meiner Anfangszeit mit Samento hatte ich massive Verschlechterungen,
alte Symptome die lange weg waren, kamen wieder. Mit der Zeit wurde es
immer besser, vertrage heute auch höhere Dosen vom Samento. Angefangen
habe ich mit 3x1 Tropfen und bin nun problemlos auf 3x10 Tropfen
eingestellt. Vor Samento, 3 Monate nach der letzten Antibiose, war mein
LTT klar positiv (OSPC 18,6 / garinii 21,8 /sensu stricto 11,7).
Aktuelle LTT-Werte vom Juli weisen keine Aktivität mehr auf. Dies
speigelt sich auch in meinem Befinden wieder. Leichte Beschwerden habe
ich noch, diese führe ich aber auf Folgeschäden zurück. Damit kann ich
aber gut leben. Inwieweit es wieder einen Rückfall gibt, wenn ich das
Samento absetze, weiß ich nicht. Werde es 12 Monate durchnehmen, wie es
in den USA empfohlen wird. Wenn es sein muss auch ein Leben lang.

Maladie de Lyme (complément au n° 54) :
Gare aux « recettes » trouvées dans un livre ou une revue, qui parlent de plantes miraculeuses, et ne font qu’énumérer une litanie d’affections censées être soignées par ces plantes, hors de tout contexte naturopathique. Il n’y a pas de plante ou médicament miraculeux, mais une méthode à suivre. C'est le cas pour la "griffe de chat" ou samento, que nous avons citée parce qu'elle est (peut-être) active contre la maladie de Lyme. Les conséquences de la maladie de Lyme peuvent apparaître des années après la contamination. C'est une maladie très invalidante si l'on n'a pas su la dépister et la traiter énergiquement à son premier stade. Or, si la médecine allopathique devrait laisser sa place à la naturopathie ou/et à l’homéopathie en médecine préventive ou de terrain, elle a toute sa place dans l’urgence. C'est le cas lors d'un dépistage avéré de cette maladie infectieuse. A défaut d'une preuve incontestable de l'efficacité d'une plante ou d'une huile essentielle, il est justifié de s'en remettre à un médecin compétent dans "Lyme", pour administrer un traitement antibiotique*, face au risque encouru. C'est dans cet esprit que nous conseillons de prendre, si besoin est, contact avec l'un des meilleurs spécialistes français de la maladie de Lyme, le Pr Hansmann, qui, le cas échéant saura vous réorienter :
« Je partage votre analyse. Je pense qu'il faut réorienter les gens vers l'ensemble des médecins qui connaissent cette pathologie, ce qui est très variable d'une région à l'autre. En Alsace par exemple, la plupart des médecins, surtout dans les zones rurales, ont été formés, continuent à se tenir au courant et connaissent assez bien la maladie de Lyme et savent comment la prendre en charge. En cas de difficultés ils nous adressent leur patient. Dans d'autres régions, mes collègues spécialistes en maladies infectieuses ou dans d'autres domaines (dermatologues, rhumatologues, neurologues peuvent être concernés) sont également pour certains d'entre eux, aptes à prendre en charge des patients souffrant de cette infection.
La prise en charge nécessite, à mon avis, un contact direct entre médecin et patient avec un examen clinique et une explication précise de l'ensemble des symptômes, ce qui ne peut pas se faire à distance.
Cordialement, Yves Hansmann ». Pr Yves Hansmann Service des Maladies Infectieuses et Tropicales
Hôpitaux Universitaires de Strasbourg 1 place de l'Hôpital 67091 Strasbourg Cedex Tél. : 03 88 11 53 51
*Comme déjà dit dans le n° 54, on peut utiliser samento (ou/et cumanda) et des HE, en complément, ou lorsqu'un traitement antibiotique d'urgence n'est pas indiqué (cas lorsque le diagnostique n’est pas formellement avéré).