Sociando a écrit :
Les tests sont calibrés uniquement pour donner une spécificité acceptable dans une population de gens sans maladie de Lyme comme tous les tests de dépistage pour chacun de leur pathogène. Un test a forcément un cut-off sinon il arrive ce qui est arrivé dans un certain labo !
Sociando,
Léa a répondu pour le cut-off.
Quant au laboratoire dont tu parles, il a sauvé la vie de mon fils.
Pour faire court :
vaccin ROR sur Lyme larvé = autisme
Elisa négatif, WB positif, traitement Lyme avec le fameux produit interdit à présent en France, autisme guéri. C'était en 2009.
Et mon fils n'est pas une exclusivité. D'autres enfants ont pu être guéri de l'autisme grâce au test de ce laboratoire et à un traitement contre Lyme.
Revenons-en juste au cut-off et à la façon de tester une autre infection : chlamydia pneumoniae (Cpn), impliquée notamment dans les MS et SPA.
Déjà, la plupart des laboratoires ne testent pas les IgA (infection active et persistante). Ils ne font que les IgG (infection ancienne).
Certains rendent des résultats sans cut-off d'indiqué … c'est juste "négatif", et puis voilà … continuez à avaler les AINS et autres opiacés inefficaces, voire mortels (le VIOXX dans mon cas).
Un autre laboratoire que celui de Strasbourg, pratiquant un bon test en IgA pour Cpn, a d'ailleurs retiré ce test de ses pratiques, car trop de pressions … je te laisse deviner qui est derrière tout ça.
Pour plus de précisions concernant ces tests, je te laisse le soin de lire ce topic :
https://www.forumlyme.com/phpBB3/viewto ... 2&start=60
Personnellement, j'ai dépassé le stade des tests … Elisa, WB, LTT, PCR … microscope à fond noir …
Lyme fait partie des pathologies auto-immunes. Un groupage HLA permet de comprendre pourquoi certains qui sont pourtant positifs à l'Elisa, au WB, n'ont aucun symptôme, alors que d'autres, tests positifs ou non, développent des symptômes persistants.
Je te laisse lire la rubrique ad hoc concernant Lyme et le HLA :
https://www.forumlyme.com/phpBB3/viewto ... 109&t=7203
Le HLA permet également d'établir un diagnostic différentiel par rapport à la polyarthrite rhumatoïde (PR), les spondylarthropathies et autres MAI.
Mais on peut également cumuler, notamment Lyme avec une PR en cas de DR4, avec présence d'un haplotype Multisusceptible (cf le tableau du dr Ritchie Shoemaker
http://www.survivingmold.com/diagnosis/lab-tests) et d'un des 4 sous-groupes du DR4 impliqués dans la PR.
Là encore, la médecine française a beaucoup de retard.
Le seul mimétisme moléculaire connu étant le HLA B27 avec la SPA, et encore …
J'en sais quelque chose car j'ai une SPA non B27, et j'ai dû aller chercher le diagnostic
… cela m'aura pris 17 ans !!!
J'habite la même région que toi, notre si belle Alsace.
Figure-toi qu'aucun rhumatologue, ni professeur de CHU n'a pu établir le vrai diagnostic, et encore moins en évoquer et comprendre l'étiologie infectieuse. Je les ai tous consultés pendant des années, y compris évidemment le fameux "zorro" pour reprendre les termes de Léa, et ses acolytes.
Là où cela devient très dangereux …
C'est lorsqu'une fois le diagnostic établi (et sans appel), on veut te mettre sous anti-TNF alpha … alors que tu souffres de quelques infections (tests reconnus à l'appui) … tu vois où je veux en venir.
Je ne vais pas donner plus de détails. Chaque chose en son temps.
Tous ces soi-disants omniscients de la médecine auront un retour prochainement.
Pour finir, des appareils de thérapie fréquentielle permettent à l'heure actuelle d'établir non seulement un diagnostic en matière infectieuse, mais encore de soigner efficacement.
Là encore, je ne rentrerai pas dans les détails.
Je ne vais pas donner à manger aux requins.
En conclusion :
Génétiquement parlant (HLA), 25% de la population est concernée par le superbug Lyme.
Par conséquent, cela n'arrive pas qu'aux autres. Les détenteurs de Big-Pharma / Big-Labo (dont tu fais sans doute partie), et leur descendance, sont/seront concernés aussi.
Et même de plus en plus, du fait du nouveau calendrier vaccinal à venir.
On leur expliquera comment se soigner.
ou alors