Histoire de température corporelles. Certaines espèces sont à 38C° et crament les BB. De ce fait, se trouvent dans la catégorie des porteurs sains..hugo.rod a écrit :Le sujet est complexe...effectivement.
J'ai le sentiment personnel que la médecine humaine n'est peut être pas la mieux disposé à solutionner le problème. Pour des maladies animales, nous affectant directement, pourquoi la recherche ne se penche t elle pas sur les espeçes d'ongulés, de canides, mustellidés,de rongeurs, Ect...?
Pourquoi certaines espèces animales comme le chien, ou certains ongulés contracte ces maladies et arrivent à s'auto immunisé?
Pourquoi certaines espèces ne contracte t'elle pas du tout lyme?.
Pourquoi ne pas commencer a s'intéresser au fonctionnement de cette bactérie dans son milieux d'origine, les espèces animales? La ou elle vit, là d'où elle vient, là où elle c'est adapté, là où elle a développé ces forces et certainement ces faiblesses?
Quand je constate le "bourbier" dans lequel c'est engagé et enragé les chercheurs de la médecine générale et l'obstination qu'elle continue d'y mettre dans les justifications, la gué guerre du c'est moi qui est raison...Je reste rêveur. Pour relever la sauce je pense qu'il manque un ou deux bons veto au milieux de tout ca! Ca relèverai peut être le niveau...qui c'est?
Pour avoir discuté l'affaire avec un véto, chez les animaux c'est plus simple :
1 - l'animal malade ne bouge plus et donc le propriétaire repère très vite la maladie. De ce fait, le traitement commence très tôt. Un animal ne se force pas à continuer à faire quand il n'est pas bien.
2 - Après le traitement l'animal a peut être des séquelles mais il s'adapte. Un brouillard cérébral est-il vraiment repéré par un chat, un chien, un cheval et/ou son propriétaire ? Un chien ou chat qui conserve comme séquelle des fourmis dans une patte : est-ce grave pour lui ou pas ?
3 - Un animal malade ou en traitement réduit son activité et se repose +++, ce que ne fait pas forcément un humain malade.
Pour les animaux non repérés : ils meurent ou deviennent fous ou les deux

Je crois qu'une partie des "choses" se passe au niveau de la perception du malade (humain ou animal) et comment il "estime les séquelles".
Attention : je ne dis pas que c'est psy ou une bêtise du genre. Je parle de perception, de ressenti et de l'impact sur la vie de tous les jours.
Et cette histoire de post-lyme permet aussi de dire qu'il ne peut pas y avoir de chronicité
