Suite aux prescriptions de l'hôpital de G., j'ai essayé le tinidazole pendant 1 semaine à 500 mg, 3 fois en 2010. Pendant ces semaines, je n'ai pas du tout dormi, mais pas du tout du tout. Résultat, à la fin j'étais exténuée.
Cette année, après 9 mois sans antibio (mais avec phyto qui me convient comme un gant), j'ai refait un essai à 500 mg pendant 7 jours (sans phyto). J'ai bien dormi, même que je me suis endormie à divers moments non souhaités

: . La tranche 18h-22h était la plus difficile : crise de frissons, mal de crane, fatigue "petite veille de 80 ans" ... et puis à la fin, irritabilité, réactions trop impulsives...
Donc,ça a forcément délogé des bestioles.
J'ai ensuite repris mon bon vieux traitement phyto du BCA avec grand plaisir, comme quand on reprend un bon vieux jean

. La fatigue est partie et tout le reste s'est normalisé en 2-3 jours.
Mardi, j'en ai parlé à mon médecin allemand qui m'a effectivement dit que ça délogeait les kystes,
MAIS que
la prise répétée de ce médicament était cancérigène. Des études rétrospectives semblaient confirmer un taux plus élevé de cancer chez les personnes ayant pris du tinidazole (ou du métronidazole). Gloups !

Bon, on peut aussi se dire que les raisons qui ont amené ces malades à prendre ces médicaments les ont conduits à avoir plus de cancer... je veux dire par là que la maladie qui a nécessité un traitement au tinidazole ou métronidazole a pu les rendre plus vulnérable au cancer... Je n'ai pas lu ces études, donc difficile de conclure (pour moi) si c'est le médicament qui induit le cancer ou la maladie originelle qui a prédisposé au cancer.
Avant d'en parler à mon médecin allemand, j'avais décidé de refaire un essai dans quelques semaines avec 1g/j et en même temps que le traitement phyto. Du coup, je sais pas si je vais tenter...

Pourtant, je suis sûre que ça fait un sacré ménage dans les kystes...
Pour répondre à une question dans un message précédent : on ne doit pas prendre le tinidazole (ni le métronidazole) plus de 7 à 10 jours de suite parce que c'est un médicament hépato-toxique. Le foie en prend un sacré coup ! Et... on n'a qu'un foie.