tout y est. Il me reste à accepter encore, à digérer toujours cette maladie, sans pour autant me laisser couler. La vie familiale, je n'en n'ai quasi plus, les amis se raréfient car çà les ramène à leurs propres peurs. Mon job est difficile à tenir et je suis encore contente de pouvoir l'assurer (prof. libérale, à mon rythme).Mais je sais aussi comment la maladie peut mettre à mal la vie active , sociale, familiale et que certaines personnes n'auront ni abx , ni phyto car ils n'en ont pas les moyens.
et puis l'autre jour sur un autre forum, j'ai lu un message de détresse d'une lymée, isolée, sans travail, souffrante sans aides sociales...mais cette discrimination est révoltante...une société à deux vitesses se profile.
Je pense aussi comme toi et je doute aussi du tout allopathie.
Il nous faut garder un espoir dans une prise de conscience par le milieu médical, dans la mise en place d'une recherche digne de ce nom, et un jour la découverte DU produit adéquat.
Véro, tu es une sage dont j'ai beaucoup à apprendre.