Tout ce qui concerne l'association France Lyme, ses actions, comment adhérer ou faire un don, ses différents moyens de communication…
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Marsu
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Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par Marsu »

parfoisoui

Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par parfoisoui »

Ah ben, super !
2 plaquettes de prévention ciblée aux forestiers, et puis voilà !

Enormes les actions du ministère !

Donc, il faut être à l'article de la mort pour espèrer juste le ticket modérateur, c'est dégeulasse...y a pas d'autres mots.
Léa
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par Léa »

JO je l'avais dans mes doc...
bon mais ce n'est que la nième fois
Vous voulez les autres?? même anciens? Depuis que cela dure :mur

bises
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Cordialement
Léa
monika88
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par monika88 »

parfoisoui a écrit :Ah ben, super !
2 plaquettes de prévention ciblée aux forestiers, et puis voilà !

Enormes les actions du ministère !

Donc, il faut être à l'article de la mort pour espèrer juste le ticket modérateur, c'est dégeulasse...y a pas d'autres mots.
Plutôt que de polémiquer sur la réponse, le côté positif de l'affaire c'est l'intervention de notre député au sein de l'hémicycle;
Si chacun de son côté interpelait ses élus, on pourrait espérer faire avancer le navire ! Il y a près de 600 députés dans ce Pays, nous n'avons pas relevé beaucoup de questions, soit orales ou soit écrites de leur part auprès du ministère de la santé ?
Le nôtre l'a déjà fait deux fois. A vos claviers !
Bon courage.
monique et gérard
parfoisoui

Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par parfoisoui »

J'ai déjà écrit au député. Aucune réponse...

Dans ma région, il doit y avoir 4 cas de borréliose, et la critique n'est pas sur la question, bien qu'elle aurait pû être plus incisive sur la détresse des malades qui n'ont pas de traitement et de lieux adaptés. Mais sur la réponse. Qui nous montre l'intéret que porte le ministère à la situation actuelle des malades.

Et, en aucun cas je critique la démarche d'ariver à motiver un député, c'est même un exploit de votre part. Le gouffre d'incompréhension et d'indiférence de leur part, me fait gerber...et je le dit, désolée.

Bon dimanche
monika88
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par monika88 »

parfoisoui a écrit :J'ai déjà écrit au député. Aucune réponse...

Dans ma région, il doit y avoir 4 cas de borréliose, et la critique n'est pas sur la question, bien qu'elle aurait pû être plus incisive sur la détresse des malades qui n'ont pas de traitement et de lieux adaptés. Mais sur la réponse. Qui nous montre l'intéret que porte le ministère à la situation actuelle des malades.

Et, en aucun cas je critique la démarche d'ariver à motiver un député, c'est même un exploit de votre part. Le gouffre d'incompréhension et d'indiférence de leur part, me fait gerber...et je le dit, désolée.

Bon dimanche

Tout à fait d'accord avec cette conclusion. C'est pourquoi il ne faut pas hésiter à harceler nos élus (sénateurs et députés), chaque goutte apportée, peut éviter à la rivière de tarir. En plus, mis à part les coûts d'affranchissement il ne nous coûte rien de les interpeler et leur rappeler qu'ils sont NOS élus. Pas de réponse: copie-collée, on rattaque !
Seules les "grandes causes" sont médiatisées et prises en compte. Téléthon, Sidaction, c'est très bien mais quand aurons nous un Lymethon ?....je rêve toute éveillée !
Bien cordialement et bon dimanche également;
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par mimija »

tu as raison Monika , il faut insister! moi, je les ai déjà contacté il y a un moment et je n'ai pas eu de réponse non plus, mais je vais rattaquer :wink:
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par Lisa B »

Ce genre de questions peut paraître anodin et la réponse est souvent surfaite (déjà préparée par les spécialistes du ministère). Pourtant, lorsqu'il y a des préparations de lois et des sujets qui deviennent un peu polémiques, les ministères recherchent aussitôt le nombre de fois où ils ont été interpelés à l'Assemblée sur le sujet : ça fait partie d'un de leurs indicateurs.

Même si ça paraît une goutte d'eau, c'est toujours utile. Alors, merci aux Vosgiens !
monika88
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par monika88 »

mimija a écrit :tu as raison Monika , il faut insister! moi, je les ai déjà contacté il y a un moment et je n'ai pas eu de réponse non plus, mais je vais rattaquer :wink:
:ensemble :ensemble Tu as tout à fait raison : surtout ne pas lâcher, rêvons un peu et imaginons que tous nos députés soient interpelés ? Sûr, ça bougerait grave....comme disent les jeunes !
Bravo et bon courage.
Bien cordialement
Monika88
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par monika88 »

Lisa B a écrit :Ce genre de questions peut paraître anodin et la réponse est souvent surfaite (déjà préparée par les spécialistes du ministère). Pourtant, lorsqu'il y a des préparations de lois et des sujets qui deviennent un peu polémiques, les ministères recherchent aussitôt le nombre de fois où ils ont été interpelés à l'Assemblée sur le sujet : ça fait partie d'un de leurs indicateurs.

Même si ça paraît une goutte d'eau, c'est toujours utile. Alors, merci aux Vosgiens !

C'est sûr que chaque petit geste n'est qu'une goutte d'eau mais comme on dit : en additionnant des gouttes d'eau on fait une rivière etc.....
Si tu voyais la source de la Moselle à Bussang ! c'est un mini filet d'eau alors qu'à Metz et à Trèves ce n'est plus la même !
Bon courage
Monika88
parfoisoui

Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par parfoisoui »

Je ne suis pas informée, mais je suppose que c'est aussi le rôle d'une association ? France Lyme a dû interpeller plusieurs fois les députés, en plus des actions personnelles ?

Ce qui me gène, c'est d'entendre que 5 à 10 000 cas sont recencés par an, le chargé du ministère le reconnait, mais personne ne se pose la question :"mais comment ils sont pris en charge tous ces gens ? "

c'est bien ça le problème, non ? l'inexistance de structures et de protocoles, pour nous, les vieux lymés, ceux qui n'ont pas eu la chance d'être pris à temps. ça veut dire ouvertement que nous n'existons pas, nous ne sommes pas recencés, et aidés.

Il faudrait peut être les informer que G refuse les soins, car débordés, et notre seule issue, c'est la clandestinité, ou l'étranger !

bref, j'enfonce des portes ouvertes, je sais, mais pour moi, poser des questions aussi "simples", qui n'amèneront qu'une réponse aussi "laxiste", c'est comme si on faisait rien...

Il y a le problème de la prévention, oui. Mais il y a d'abord le soucis de traiter les malades, à mon avis...

c'est comme le ttmt, prendre un ttmt faible, c'est comme ne rien faire...
voilà, c'est mon opinion.
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Marsu
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par Marsu »

parfoisoui a écrit :Je ne suis pas informée, mais je suppose que c'est aussi le rôle d'une association ? France Lyme a dû interpeller plusieurs fois les députés, en plus des actions personnelles ?
Ouaip, tout ceci est sur le site de l'Asso.
Ce qui me gène, c'est d'entendre que 5 à 10 000 cas sont recencés par an, le chargé du ministère le reconnait, mais personne ne se pose la question :"mais comment ils sont pris en charge tous ces gens ? "
De la même façon que TOUS les malades des maladies rares en France, ou en Europe :

pas beaucoup de malades = pas de bruits = pas de budget pour la recherche = pas de reconnaissance médico-légale.
Il faudrait peut être les informer que G refuse les soins, car débordés, et notre seule issue, c'est la clandestinité, ou l'étranger !
Rigolo. Informer qui : le Ministère ou la HAS ? Dans les deux cas, c'est la même personne de G. qui s'occupe des groupes de travail, donc ils sont bien au courant.

Encore une fois, le seul moyen de faire en sorte que l'on s'occupe de nous, c'est d'arrêter de passer pour des barges et de montrer que l'on est nombreux.

Mais tout ceci n'a rien à faire dans ce thread et l'on en parle déjà sur le forum de l'Asso. 8)
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QUESTION ORALE SANS DEBAT SUR LA MALADIE DE LYME

Message par naty »

Article lu sur internet.
Question posée par Monsieur VANNSON François, Député des Vosges.
Je ne sais pas si vous avez eu connaissance de cet article.
Bonne journée à tous.
Naty

ARTICLE :

Question orale sans débat sur la maladie de Lyme

Par Vannson François le mercredi, mai 12 2010, 09:45 - Action - Lien permanent
Lors de la séance de questions orales sans débat du mardi 11 mai 2010, j'ai interpellé, la ministre de la santé et du sport sur la nécessité de mettre en place des actions de prévention et de dépistage de la maladie de lyme. Cette maladie infectieuse grave, d’origine bactérienne, se transmet à l’homme par les tiques et engendre des troubles neurologiques importants chez la personne infectée. Elle est présente sur tout le territoire national, certaines zones étant plus fortement touchées, notamment les zones forestières telles que les Vosges.
J'ai insisté sur la nécessité de mettre en place trois types d'actions :
- L'amélioration des actions de prévention et d'information de nos concitoyens.
- L'amélioration des campagnes de dépistage et d'information des praticiens.
- La reconnaissance de cette pathologie par la sécurité sociale en tant que maladie invalidante.
Roselyne Bachelot étant en déplacement en Chine, c'est Bruno Lemaire, le ministre de l'Alimentation de l'Agriculture et de la Pêche qui m'a répondu et qui m'a donné des précisions sur les actions mises en œuvre par le Gouvernement sur les différents points que j'ai soulevés.
Vous trouverez ci-dessous l'extrait du compte-rendu des débats pour plus de précisions.
Extrait du compte-rendu de la séance du mardi 11 mai 2010
Actions de prévention et de dépistage de la maladie de Lyme
Mme la présidente. La parole est à M. François Vannson, pour exposer sa question, n° 1051, relative aux actions de prévention et de dépistage de la maladie de Lyme.
M. François Vannson. Ma question s’adresse à Mme la ministre de la santé et des sports et porte sur la nécessité de mettre en place des actions de prévention et de dépistage de la maladie de Lyme.
Cette maladie infectieuse grave, d’origine bactérienne, se transmet à l’homme par les tiques et engendre des troubles neurologiques importants chez la personne infectée. Elle est présente sur tout le territoire national, certaines zones étant plus fortement touchées, notamment les zones forestières telles que les Vosges. Afin de la combattre de manière efficace, il serait opportun de mettre en œuvre trois types de mesures. Tout d’abord, il semble nécessaire d’améliorer les actions de prévention et d’information de nos concitoyens afin qu’ils se protègent au mieux. En effet, détectée à temps, cette maladie peut se traiter par antibiothérapie.
Ensuite, des efforts sont à faire en termes de dépistage et d’information des praticiens. À titre d’exemple, les tests sérologiques actuellement effectués en France sont réalisés sur des kits américains qui ont été établis sur une bactérie différente de la souche française, d’où des résultats peu fiables.
Enfin, compte tenu des conséquences parfois dramatiques de cette maladie sur certains patients, qui se traduisent par une nette dégradation de leurs conditions de vie, se pose la question d’une reconnaissance de cette pathologie par la sécurité sociale en tant que maladie invalidante. Aussi, je souhaiterais avoir des précisions sur les actions que Mme la ministre de la santé entend mettre en œuvre.
Mme la présidente. La parole est à M. Bruno Le Maire, ministre de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche.
M. Bruno Le Maire, ministre de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche. Monsieur le député, vous avez interrogé Mme Roselyne Bachelot sur la maladie de Lyme. Actuellement en déplacement en Chine, elle m’a chargé de vous apporter la réponse suivante. Cette maladie bactérienne, transmise par les tiques, atteindrait en France entre 5 000 et 10 000 personnes chaque année, ce qui n’est évidemment pas négligeable.
La prévention est, pour le moment, principalement fondée sur des mesures de contrôle de la prolifération des tiques, ainsi que sur des mesures de protection individuelles. La reconnaissance rapide des premiers signes cliniques est en effet importante, comme vous l’avez souligné, afin d’éviter les complications.
Des informations ont été délivrées au grand public et aux professionnels à risque, comme les forestiers, par le biais de plaquettes d’information, essentiellement dans les régions de forêts et de prairies humides de l’Est et du Centre. En 2009, une plaquette d’information nationale a également été réalisée et rendue publique.
En ce qui concerne les tests biologiques, il n’existe plus de procédure d’enregistrement. Celle-ci a en effet été remplacée par une déclaration de conformité, laquelle est susceptible d’être contrôlée à tout moment par l’autorité sanitaire.
Des tests sérologiques utilisant des souches européennes comme source d’antigène sont aussi disponibles sur le marché français. Mais le problème est que l’interprétation de ces tests reste aujourd’hui particulièrement complexe. Leur grande variabilité ainsi que ces difficultés d’interprétation ont été soulignées en 2006, lors de la conférence de consensus de la Société de pathologie infectieuse de langue française. Comme vous l’avez rappelé, il existe effectivement des formes invalidantes de la maladie de Lyme, mais la grande variabilité de la présentation, de la gravité et de l’évolution de cette maladie d’un patient à l’autre rendrait complexe son inscription sur la liste des affections de longue durée. En revanche, tout patient atteint de maladie de Lyme grave ou invalidante, et nécessitant des soins coûteux et prolongés, peut bénéficier d’une exonération du ticket modérateur.
En outre, si les effets invalidants de la pathologie sont de nature à entraîner une perte de ses capacités professionnelles, le patient peut demander à ce que ses droits à une pension d’invalidité soient examinés par le service du contrôle médical des caisses d’assurance maladie. Mme la présidente. La parole est à M. François Vannson.
M. François Vannson. Je vous remercie, monsieur le ministre, pour votre réponse. Je tiens à attirer une nouvelle fois votre attention sur le fait qu’une politique dynamique de prévention de cette maladie peut s’avérer très efficace dans l’avenir. Lancer des campagnes de communication et de prévention, dépister cette maladie à temps et le plus tôt possible, cela peut être moins coûteux pour la collectivité que d’avoir, à terme, la charge de traiter une maladie aussi lourde.
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par Marsu »

Merci d'utiliser la fonction recherche avant d'ouvrir un thread. 8)
naty
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Re: Question de M. François Vannson, député des Vosges

Message par naty »

Avec mes excuses !
Naty
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