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Re: Métaux lourd et Lyme
Et si tout le monde adhérait à l'association ET devenait bénévole ce serait bien non ?
http://www.forumlyme.com/phpBB3/viewtop ... f=3&t=3325
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Re: Métaux lourd et Lyme
En principe, quand un document extrait du "net" est cité, il convient de donner le lien originel (comme on le fait d'une bibliographie. C'est l'auteur et le livre ou article de ce dernier que l'on cite, pas un résumé ou une compilation dans lequel il est cité.) soit :Framboise a écrit :Protocole pour l’élimination des neurotoxines du Dr Klinghardt
http://www.lyme-sante-verite-2.sitew.fr ... ghardt.pdf
http://cinak.com/home.php?id=francais
puis le sous document, si nécessaire.
Ainsi, chacun peut évaluer la fiabilité de l'information.


Re: Métaux lourd et Lyme
Annie, OK pour l'"Algas" ou algue rouge. Tu en a déjà pris? Le problème avec Nutramédix est qu'ils ne publient pas de certificat sur la contamination en ML de leurs produits...
Je me rappelle que c'est un des composants du produit dénommé Quintessence de Klinghardt, utilisé dans son cocktail de lyme (avec andrographis,polygonum cupidatum etc.).
Je me rappelle que c'est un des composants du produit dénommé Quintessence de Klinghardt, utilisé dans son cocktail de lyme (avec andrographis,polygonum cupidatum etc.).
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Re: Métaux lourd et Lyme
oh non je ne prends pas Nutramedix leurs produits n'agissent absolument pas sur moi
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Re: Métaux lourd et Lyme
La chlorella semble etre egalement en mesure de chelater le plomb, du moins dans l´intoxication au plomb aigue:Hanna a écrit : Je suis "très sérieusement plombée, largement mercurisée mais aussi uraniumisée".
Pour le moment je n'adresse que de façon soft le mercure avec la chlorella.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19825862
-> voire mon commentaire dans le posting precedent!
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12781705
La chlorella, donnee pendant 3 ou 10 jours 24 h apres la contamination au plomb des souris, a permet de diminuer le taux de plomb sanguin de 13,5 % et 17% respectivement.Evidence that these protective effects of CVE are partly due to its chelating effect was given by the changes observed in blood lead levels. We have observed in the group receiving the CVE/lead simultaneous exposure a dramatic reduction of 66.03% in blood lead levels, when compared to lead-exposed nontreated control. On the other hand, CVE treatment following lead exposure produced a much less effective chelating effect. CVE treatments for 3 or 10 days, starting 24 h following lead exposure, produced a reduction in blood lead levels of 13.5% and 17%, respectively, compared to lead-exposed nontreated controls
La duree de traitement etant relativement courte et la chlorella ayant ete donnee tres peu de temps apres la contamination au plomb, cette etude ne permet pas de tirer des conclusions sur l´action de la chlorella pour une intoxication chronique au plomb, ou la majorite du plomb avale n´est plus dans le sang, mais dans les tissus (os, cerveau).
Il en est de meme pour l´etude precedente, qui a mis en evidence une excretion fecale accrue du plomb chez des souris ayant recu de la chlorella 24 h apres l´intoxication au plomb et une diminution des taux de plomb dans le sang et les tissus. La aussi, la chlorella ayant ete donnee rapidement apres l´intoxication au plomb, quand la majorite du plomb se trouve encore dans le sang, les resultats ne permettent pas de savoir si la chlorella permet d´eliminer le plomb des tissus contamines apres une intoxication chronique.
D´apres mes sources (etudes ou articles scientifiques) l´un des meilleurs chelateurs du plomb est le DMSA:J'imagine qu'ilme faut de l'EDTA pour le plomb.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19663612
http://qjmed.oxfordjournals.org/content/102/10/721.long
(Attention: il s´agit dans les 2 etudes precedentes du traitement de l´intoxication aigue au plomb et non du tmt de l´intox chronique!!!)
Il y a des principes actifs naturels qui peuvent potentialiser l´effet chelateur ou antioxydant du DMSA:
*taurine (acide amine):
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15171566
-> effet chelateur potentialisant dans le tmt de l´intoxication chronique au plomb chez des rats
*acide alpha-lipoique:
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12135622
La prise d´AAL sans ou avec DMSA a retabli les fonctions biologiques perturbees par l´intoxication au plomb, donc de traiter le stress oxidatif. L´AAL seule n´a pas permis de diminuer les taux de plomb dans le sang, le foie et les reins, mais elle a permis de diminuer significativement le taux de plomb dans le cerveau des animaux traites simultanement a l´AAL et au DMSA.Administration of LA was effective in reducing these alterations in the brain, however, the best effects were achieved in animals co-administered LA and one of the thiol chelators. The results point to a significant beneficial role of LA in the recovery of altered biochemical variables both during monotherapy and when given in combination with succimer. It however, showed no chelating properties in decreasing lead burden from blood, liver and kidneys except for a significantly more pronounced decrease in brain lead concentration in animals administered LA plus thiol chelators, compared to the effects of chelating agents alone
*Vitamine C et calcium:
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17287888
*vitC, calcium, taurine, thiamine (vitB1):
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17721779
*vitE und vitC dans le tmt de l´intox. chronique:
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12732454
->
La combinaison DMSA + VitE etait plus efficace pour reduire les taux de plomb dans le sang, le foie et les reins que le DMSA seul.The result also suggests a beneficial role of vitamin E when administered along with the thiol chelators (particularly with MiADMSA) in reducing body lead burden.Blood lead concentration was reduced from 13.3+/-0.11 in lead control to 0.3+/-0.01 in MiADMSA plus vitamin E-treated rats. Liver and kidney lead concentration also showed a most prominent decrease in MiADMSA plus vitamin E co-administered rats (5.29+/-0.16 to 0.63+/-0.02 and 14.1+/-0.21 to 1.51+/-0.13 in liver and kidney, respectively).
These results thus suggest that vitamin C administration during chelation with DMSA/MiADMSA was significantly beneficial in reducing oxidative stress however, it had little or no additive effect on the depletion of lead compared with the effect of chelators alone.
Thus, the co-administration of vitamin E during chelation treatment with DMSA or MiADMSA could be recommended for achieving optimum effects of chelation therapy.
La vitC aide a lutter contre le stress oxidatif engendre par l´intox. au plomb, mais ne potentialise pas (ou peu) l´action chelatrice du DMSA.
*Smilax glabra (recommandee par Stephen Buhner comme detoxiquant):
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20580805
Le traitement simultane avec Smilax et DMSA a un effet synergetique dans le traitement du stress oxidatif au niveau du cerveau, foie, et reins.The co-treatment of SGE and DMSA had a synergism in increasing brain, liver and kidney superoxide dismutase (SOD), catalase (CAT) activities and GSH level, and decreasing oxidized glutathione (GSSG) and thiobarbituric acid reactive substances (TBARS) levels. Moreover, the co-treatment could improve the hepatic and renal histopathology changes. SGE as chelating agent showed significant efficiency in reducing blood and tissue lead burden.
CONCLUSIONS:
The in vivo results suggested that SGE individually or combined with DMSA exhibited remarkable protective effects on lead-induced oxidative stress and lead burden in rats.
Smilax a montre une efficience significative comme agent chelateur en reduisant les taux de plomb dans le sang et les tissus.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19565723
Interessant est egalement la capacite de la coriandre (recommandee par Dr.Klinghardt dans le tmt de l´íntox. chronique au mercure en combinaison avec de la chlorella) a chelater le plomb:
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11535365
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19902160
*NAC:
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15555419
Le traitement combine DMSA + NAC est plus efficace pour restorer les fonctions biologiques alterees par l´intoxication au plomb (stress oxidatif) et pour reduire les taux corporels de plomb que la monotherapie au plomb. Cela suggere le role des ROS (radicaux libres) dans la toxicite du plomb et l´effet benefique prononce de la NAC dans les implications therapeutiques de l´empoisennement au plomb quand le NAC est coadministre avec un chelateur thiole (DMSA), supportant l´hypothese que le status cellulaire redox peut etre inverse par l´utilisation d´un thiole contenant un antioxydant. On peut en conclure que la therapie combinee avec un antioxydant et un agent chelateur a thiole pourrait etre le meilleur choix pour traiter l´intox. au plomb.Interestingly, combined treatment of DMSA and NAC provided more pronounced efficacy in restoring altered biochemical variables and in reducing body lead burden than monotherapy with DMSA. The results thus, suggest the involvement of ROS in lead toxicity and a pronounced beneficial role of NAC in therapeutic implications of lead poisoning when co-administered with a thiol chelator (DMSA) supporting the hypothesis that cellular redox status may be significantly reversed by utilizing a thiol containing antioxidant compound. It can be concluded that, combined therapy with an antioxidant moiety and a thiol-chelating agent may be a better choice for treating plumbism.
Le chélateur et la DMSA peuvent etre pris oralement ou par injection IV. L´EDTA est generalement injecte en IV, car la resorbtion orale est tres faible (1%). Mais je crois que certains medecins le donne egalement sous la forme de suppositoires.Quest-ce qui est plus simple à tolérer : la forme orale; les suppos etc? et où se procurer des produits sérieux ?
Le DMSA oral n´est que resorbe a 20%, mais la prise de capsules est beaucoup moins chere que des injections. Le chélateur est resorbe oralement a 50%, mais le prix des ampoules est tres eleve. Les medecins specialises dans les chelations des ML preferent le chélateur en IV pour le tmt de l´intoxication au mercure, mais le DMSA chelatant mieux le plomb que le chélateur, c´est le DMSA qui est prefere en cas d´intox. au plomb.
Avec grand plaisir. J´en apprends moi-meme beaucoup au passage!... et encore merci pour toute les infos précieuses précédemment postées (que je vais potasser dès que possible)!!!

Bises et bon retablissement!
Framboise
Framboise
Re: Métaux lourd et Lyme
En resume pour le traitement de l´intoxication chronique au plomb on trouve dans la litterature les suggestions therapeutiques suivantes:
*DMSA oral (ou en injections IV)
evt. combine a :
*Taurine
*NAC
*Vitamine E
*Vitamine C
*Smilax glabra (celle-ci devant etre garantie sans plomb par le fabricant, pour eviter une recontamination au plomb).
Pour les dosages, je posterais ce que j´ai trouve plus tard.
*DMSA oral (ou en injections IV)
evt. combine a :
*Taurine
*NAC
*Vitamine E
*Vitamine C
*Smilax glabra (celle-ci devant etre garantie sans plomb par le fabricant, pour eviter une recontamination au plomb).
Pour les dosages, je posterais ce que j´ai trouve plus tard.
Bises et bon retablissement!
Framboise
Framboise
Re: Métaux lourd et Lyme
Je n´arrive pas a ouvrir ton lien.Agrippine a écrit :En principe, quand un document extrait du "net" est cité, il convient de donner le lien originel (comme on le fait d'une bibliographie. C'est l'auteur et le livre ou article de ce dernier que l'on cite, pas un résumé ou une compilation dans lequel il est cité.) soit :Framboise a écrit :Protocole pour l’élimination des neurotoxines du Dr Klinghardt
http://www.lyme-sante-verite-2.sitew.fr ... ghardt.pdf
http://cinak.com/home.php?id=francais
puis le sous document, si nécessaire.
Ainsi, chacun peut évaluer la fiabilité de l'information.
L´article du Dr.Klinghardt que j´avais poste est issu du site Lyme Sante Verite:
http://www.lyme-sante-verite-2.sitew.fr/#_Articles.A
http://www.lyme-sante-verite.sitew.com/#Introduction.A
Bises et bon retablissement!
Framboise
Framboise
Re: Métaux lourd et Lyme
Bravo Framboise pour la bibliographie; sacré boulot.
Je serai ravie de lire aussi vos expériences de lymé(e)s en chélation (y compris dosage).

Je serai ravie de lire aussi vos expériences de lymé(e)s en chélation (y compris dosage).
Re: Métaux lourd et Lyme
@ Framboise :
Je "re-pose" le lien (que j'arrive à ouvrir sans problème pour ma part
):
http://cinak.com/home.php?id=francais
Lui même étant la sélection française de :
http://cinak.com/
Mais mon cerveau est fatigué, ce jour

PS : Quand je lis le programme du séminaire http://www.cinak.com/programme_du_seminaire.pdf il est des choses qui m'interpellent ++++ quand à leur validité scientifique, mais ... petit cerveau de
Je "re-pose" le lien (que j'arrive à ouvrir sans problème pour ma part

http://cinak.com/home.php?id=francais
Lui même étant la sélection française de :
http://cinak.com/
Qui lui même l'a issu du site du Cinak, c'est ce que je voulais dire par "donner le lien originel".L´article du Dr.Klinghardt que j´avais poste est issu du site Lyme Sante Verite:
Mais mon cerveau est fatigué, ce jour


PS : Quand je lis le programme du séminaire http://www.cinak.com/programme_du_seminaire.pdf il est des choses qui m'interpellent ++++ quand à leur validité scientifique, mais ... petit cerveau de


Re: Métaux lourd et Lyme
Merci Hanna!Hanna a écrit :Bravo Framboise pour la bibliographie; sacré boulot.

Je vous donne egalement les liens de plusieurs articles interessants sur la chelation des ML, mais sans les commenter (plus tard peut-etre), car aujourd´hui je n´en peux plus!

Sur la chelation des ML en general:
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2922724/
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3654245/
Sur l´intoxication au plomb:
Lead Toxicity, A Review of the Literature. Part I: Exposure, Evaluation, and Treatment
Lyn Patrick, ND
http://www.altmedrev.com/publications/11/1/2.pdf
Lead Toxicity Part II: The Role of Free Radical Damage and the Use of Antioxidants in the Pathology and Treatment of Lead Toxicity
Lyn Patrick, ND
http://www.altmedrev.com/publications/11/2/114.pdf
Sur l´intoxication au mercure:
Mercury Toxicity and Antioxidants: Part I: Role of Glutathione and alpha-Lipoic Acid in the Treatment of Mercury Toxicity
Lyn Patrick, N
http://www.altmedrev.com/publications/7/6/456.pdf
@Hanna: tu trouveras dans ce dernier article ta reponse a la question de la prise d´acide alpha-lipoique pour la chelation du mercure. J´y reviendrais plus tard.
Sur le DMSA:
Dimercaptosuccinic Acid (DMSA), A Non-Toxic, Water-Soluble Treatment For Heavy Metal Toxicity
by Alan L. Miller, N.D.
http://www.altmedrev.com/publications/3/3/199.pdf
DMSA and Detoxing Heavy Metals
By Ward Dean, M.D.
http://warddeanmd.com/dmsa-and-detoxing-heavy-metals/
Je peux deja te faire part des mes experiences limitees avec la chlorella et le DMSA.Je serai ravie de lire aussi vos expériences de lymé(e)s en chélation (y compris dosage).
Chlorella: prise pendant env. 3 mois apres le retrait de mes derniers amalgames (machoire superieure) l´annee derniere a raison de 2 x 10 comprimes (500 mg) (entre les repas) par jour env. Pas d´effets notables, pas d´effets secondaires.
DMSA: test de provovation fait avec 30 mg/kg de poids de DMSA oral (le matin a jeun). Aggravation extreme de mes douleurs (limite du supportable). le jour de la prise. Niveau normal des douleurs le lendemain.
Reprise env. 2 semaines plus tard a raison de 10 mg/Kg le matin a jeun, a nouveau aggravation sensible des douleurs, mais a une echelle moindre qu´a 30 mg/Kg.
Je suppose que cette aggravation des douleurs lors de la prise du DMSA est due a la mobilisation de ML et donc a un recrudescence du stress oxidatif/nitrosatif et donc de la production de cytokines inflammatoires. Simple supposition...
Bises et bon retablissement!
Framboise
Framboise
Re: Métaux lourd et Lyme
Dans cette emission la journaliste evoque les resultats de cette etude canadienne de 2013 sur les taux en ML d´une centaine de thes (verts, noirs, etc.):
http://www.france2.fr/emissions/telemat ... rds_218383
Lien de l´etude (que j´avais deja poste):
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3821942/
Resultats (taux moyens en µg/l):
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/article ... able/tab3/
Ce qui est vraiment frappant est la teneur incroyable en aluminium de la plupart des thes infuses, la teneur allant jusqu´a 8324 µg/l pour les thes infuses 3 mn et jusqu´a 11.449 µg/l pour les thes infuses 15 min!
Dans l´union europeenne, le taux quotidien acceptable est limite a 4.286 µg Al/jour (ce qui me parait beaucoup....
).
Ce sont les thes blancs qui contiennent le moins d´AL, suivis par les thes verts conventionnels. Les thes verts organiques contiennent davantage d´Al que les thes conventionnels (pour quelle raison?).Les thes noirs et les thes oolong ont les teneurs en AL les plus importantes.
Dans cette etude c´etait les thes chinois qui etait les plus contamines, comme dans une autre etude.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/article ... able/tab4/
Les thes verts bio du SriLanka avaient les taux de Pb, Cd, Al, As les plus faibles (the vert bio Bjorg par ex.)
Les thes blancs d´Inde ont avaient egalement les taux de Pb, Cd, Al, As les plus faibles.
Les thes oolong ont les taux les plus importants en ML (Pb, As, Al).
La plupart des thes contiennent egalement trop de plomb. La limite quotidienne tolerable est de seulement 15 µg/jour pour le plomb (pour les femmes enceintes 0,5 !).
Or certains thes contiennent jusqu´a 3 µg de Pb/L.
http://www.france2.fr/emissions/telemat ... rds_218383
Lien de l´etude (que j´avais deja poste):
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3821942/
Resultats (taux moyens en µg/l):
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/article ... able/tab3/
Ce qui est vraiment frappant est la teneur incroyable en aluminium de la plupart des thes infuses, la teneur allant jusqu´a 8324 µg/l pour les thes infuses 3 mn et jusqu´a 11.449 µg/l pour les thes infuses 15 min!

Dans l´union europeenne, le taux quotidien acceptable est limite a 4.286 µg Al/jour (ce qui me parait beaucoup....

Ce sont les thes blancs qui contiennent le moins d´AL, suivis par les thes verts conventionnels. Les thes verts organiques contiennent davantage d´Al que les thes conventionnels (pour quelle raison?).Les thes noirs et les thes oolong ont les teneurs en AL les plus importantes.
Dans cette etude c´etait les thes chinois qui etait les plus contamines, comme dans une autre etude.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/article ... able/tab4/
Les thes verts bio du SriLanka avaient les taux de Pb, Cd, Al, As les plus faibles (the vert bio Bjorg par ex.)
Les thes blancs d´Inde ont avaient egalement les taux de Pb, Cd, Al, As les plus faibles.
Les thes oolong ont les taux les plus importants en ML (Pb, As, Al).
La plupart des thes contiennent egalement trop de plomb. La limite quotidienne tolerable est de seulement 15 µg/jour pour le plomb (pour les femmes enceintes 0,5 !).
Or certains thes contiennent jusqu´a 3 µg de Pb/L.
Bises et bon retablissement!
Framboise
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Re: Métaux lourd et Lyme
L´association californienne Environnemental Research Center:
http://www.erc501c3.org/lead-exposure.html
avait trouve des taux trop eleves de plomb dans des complements alimentaires de Thorne Research et a porte plainte contre l´entreprise:
http://oag.ca.gov/system/files/prop65/c ... 4C3163.pdf
Cette association avait egalement trouve des taux de plomb trop eleves dans des complements de Nutricology et Allergy Research Group:
http://oag.ca.gov/system/files/prop65/j ... 3J1699.pdf
http://www.erc501c3.org/lead-exposure.html
avait trouve des taux trop eleves de plomb dans des complements alimentaires de Thorne Research et a porte plainte contre l´entreprise:
http://oag.ca.gov/system/files/prop65/c ... 4C3163.pdf
Cette association avait egalement trouve des taux de plomb trop eleves dans des complements de Nutricology et Allergy Research Group:
http://oag.ca.gov/system/files/prop65/j ... 3J1699.pdf
Bises et bon retablissement!
Framboise
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Re: Métaux lourd et Lyme
Toxic Element Contamination of Natural Health Products and Pharmaceutical Preparations
Stephen J. Genuis
Gerry Schwalfenberg,
Anna-Kristen J. Siy,
Ilya Rodushkin
Published: November 21, 2012
http://www.plosone.org/article/fetchObj ... tation=PDF
Stephen J. Genuis
Gerry Schwalfenberg,
Anna-Kristen J. Siy,
Ilya Rodushkin
Published: November 21, 2012
http://www.plosone.org/article/fetchObj ... tation=PDF
Bises et bon retablissement!
Framboise
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Re: Métaux lourd et Lyme
Il y a longtemps que je voulais apporter ma contribution sur la détox des métaux lourds, en vous faisant part d’une expérience bien particulière puisqu’il s’agit de la détoxication des métaux ultra-lourds, et plus précisément des métaux radio-actifs.
J’ai discuté avec un spécialiste de la détoxication des métaux radioactifs qui suit environ 1 000 patients : ces patients ont eu des contaminations accidentelles de gravités très diverses (très faible à très importante), avec des radionucléides variés, souvent avec des blessures. Ces contaminations sont survenues généralement dans le cadre du travail.
Les patients sont suivis pendant leur traitement, mais ont aussi un suivi « à vie » après. Ce suivi post-accidentel a été instauré dans un objectif scientifique plus que par nécessité. En effet, ces patients se portent généralement très bien. Le plus ancien patient suivi a une contamination datant de 1962.
La durée des traitements de ces patients a varié entre 1 semaine et 4 ans et demi. Selon ce spécialiste, le patient traité le plus longtemps aurait dû n’être traité que pendant 1 an, mais il restait une contamination résiduelle et le patent a souhaité, pour des raisons psychologiques, poursuivre le traitement.
Dans le cas de contamination par des éléments radioactifs, le traitement doit idéalement démarrer dans les 2 heures suivant la contamination. Au-delà de 24h, l’efficacité du traitement est très largement diminuée car les radionucléides ont déjà commencé à se fixer dans le corps. Or, dans le cas d’éléments radioactifs, il est crucial de les éliminer urgemment. C’est aussi pourquoi les traitements sont toujours donnés rapidement et à des doses importantes : il important de frapper fort et vite. La tolérance des produits administrés n’est donc pas testée au préalable.
(Dans le cadre d'une maladie de Lyme, il peut être préférable de tester les produits à faible dose.)
Dans le domaine de la médecine nucléaire, le vocabulaire est légèrement modifié : on ne parle pas de « détoxiquer » ou de « détoxication », mais de « décorporer » ou de « décorporation ». De même, le terme de de « décorporant » est préféré à celui de « chélateur ». Dans les premiers essais de décorporation, on parlait même d’ « antidote » à la place de « chélateur ». Depuis, ces décorporants ont reçu une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) et sont donc des médicaments à part entière : ils sont suivis comme tous les médicaments et ne peuvent être délivrés que par ordonnance.
Selon ce spécialiste, il est important de connaître précisément l’élément contaminant (ou le toxique). En effet, chaque toxique a une cible différente dans le corps humain et une structure chimique bien spécifique : à chaque toxique correspond un traitement différent.
Exemples :
- Le plutonium attaque les os et le foie ; un traitement par DTPA doit donc être appliqué.
- Le césium attaque les muscles et on appliquera un traitement au Bleu de Prusse (notez que le Bleu de Prusse est une substance à base de cyanures !)
- L’uranium va cibler les reins puis les os, alors que la forme uranyle (composé de l’uranium) va remplacer le fer des globules rouges.
- L’iode, bien connue du grand public, ciblera la thyroïde et le traitement ne se composera pas d’un décorporant (ou chélateur) mais consistera à donner de l’iode non radioactif pour saturer le corps en iode et « pousser » l’iode radioactif à être éliminer du corps.
Parmi les effets secondaires des traitements, on note parfois des nausées, des pertes d’appétit, des pertes de poids, des maux de tête… La formule sanguine est surveillée, de même que les paramètres biologiques se rapportant au foie et aux reins.
Mais l’effet secondaire systématique est que les décorporants (ou chélateurs) entrainent nécessairement des carences en oligo-éléments. En effet, ces décorporants entrainent hors du corps beaucoup d’autres métaux, y compris des oligo-éléments nécessaires au bon fonctionnement du corps humain : calcium, magnésium, zinc, manganèse, or, cuivre, argent, cobalt…
Avec chaque traitement décorporant, il est donc systématiquement administré des oligo-éléments. Des ionogrammes (analyses dosant les oligo-éléments) sont réalisés pendant toute la durée du traitement et après.
J’ai d’ailleurs rencontré une personne qui avait eu un traitement d’une durée d’un an et qui a souffert de ces carences. Sa femme m’a parlé des conséquences sur le foie de son mari notamment et il a fallu environ 1 an de supplémentation après l'arrêt du traitement décorporant. (Le mari était peu causeux… c’est donc sa femme qui s’est volontiers confiée.
)
Un guide national d’intervention médicale a été édité par l’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) pour définir les traitements à administrer en cas de contamination radiologique, pour chaque radionucléide.
http://www.asn.fr/Informer/Actualites/V ... -nucleaire
Voir pages 100 à 156
Même si ces traitements ont été établis pour des éléments radioactifs, ils sont valables pour leurs équivalents non radioactifs :
- Le traitement du mercure radioactif peut être administré pour le mercure non radioactif.
- Le traitement du plomb radioactif peut être administré pour le plomb non radioactif.
- Etc.
Voici les principaux décorporants (ou chélateurs) administrables et les éléments décorporables associés :
- Le Bleu de Prusse (ferrocyanure de fer) : césium, thallium, indium…
- DTPA (acide diéthylènetriamine penta-acétique) : américium, californium, cérium, chrome, cobalt, curium, erbium, europium, fer, gallium, iridium, lanthane, manganèse, plutonium, praséodyme, prométhéum, ruthénium, samarium, scandium, thorium, ytterbium, yttrium, zinc, zirconium
- Dimercaprol : antimoine, arsenic, bismuth, cadmium, mercure, nickel, or, polonium, …
Nota : le dimercaprol peut être remplacé par du DMSA dont la structure chimique est proche, mais seul le dimercaprol est “patenté” pour la médecine nucléaire.
Légende :
- En vert : les éléments qui ne sont pas toxiques (sauf s’ils sont radioactifs!) et qui sont même indispensables au bon fonctionnement du corps
- En orange : les éléments qui peuvent parfois être présents en trop grandes quantités dans le corps, mais pour lesquels une quantité minimale est nécessaire.
- En rouge : les éléments toxiques (non radioactifs !) pouvant être rencontrés chez des lymés.
Conclusion :
1. Chaque toxique a une cible précise dans le corps humain et à chaque toxique doit être administré un décorporant (ou chélateur) précis.
2. Une décorporation (ou une chélation) doit être suivie médicalement par des analyses (formule sanguine, paramètres du foie et des reins).
3. Une décorporation (ou une chélation) élimine nécessairement différents éléments et entraine nécessairement des carences en oligo-éléments qui doivent être impérativement comblées. De plus, un ionogramme doit être réalisé durant toute la durée du traitement, ainsi qu’après le traitement.
Personnellement, lorsque je lis que certaines personnes voient leur lyme « flamber » après une détox, je me demande si cette flambée n’est pas la conséquence de carences en oligo-éléments induites par la détox. En effet, certains éléments jouent un rôle crucial dans le soutien du système immunitaire (zinc, cuivre, argent, or, cobalt, manganèse…).
Enfin, il ne faut oublier que les personnes contaminées par des éléments radioactifs et suivis par ce spécialiste sont au départ des personnes en bonne santé, c’est-à-dire avec un système immunitaire normal et a priori sans carences en oligo-éléments, ce qui n’est absolument pas le cas des lymés.
J’ai discuté avec un spécialiste de la détoxication des métaux radioactifs qui suit environ 1 000 patients : ces patients ont eu des contaminations accidentelles de gravités très diverses (très faible à très importante), avec des radionucléides variés, souvent avec des blessures. Ces contaminations sont survenues généralement dans le cadre du travail.
Les patients sont suivis pendant leur traitement, mais ont aussi un suivi « à vie » après. Ce suivi post-accidentel a été instauré dans un objectif scientifique plus que par nécessité. En effet, ces patients se portent généralement très bien. Le plus ancien patient suivi a une contamination datant de 1962.
La durée des traitements de ces patients a varié entre 1 semaine et 4 ans et demi. Selon ce spécialiste, le patient traité le plus longtemps aurait dû n’être traité que pendant 1 an, mais il restait une contamination résiduelle et le patent a souhaité, pour des raisons psychologiques, poursuivre le traitement.
Dans le cas de contamination par des éléments radioactifs, le traitement doit idéalement démarrer dans les 2 heures suivant la contamination. Au-delà de 24h, l’efficacité du traitement est très largement diminuée car les radionucléides ont déjà commencé à se fixer dans le corps. Or, dans le cas d’éléments radioactifs, il est crucial de les éliminer urgemment. C’est aussi pourquoi les traitements sont toujours donnés rapidement et à des doses importantes : il important de frapper fort et vite. La tolérance des produits administrés n’est donc pas testée au préalable.
(Dans le cadre d'une maladie de Lyme, il peut être préférable de tester les produits à faible dose.)
Dans le domaine de la médecine nucléaire, le vocabulaire est légèrement modifié : on ne parle pas de « détoxiquer » ou de « détoxication », mais de « décorporer » ou de « décorporation ». De même, le terme de de « décorporant » est préféré à celui de « chélateur ». Dans les premiers essais de décorporation, on parlait même d’ « antidote » à la place de « chélateur ». Depuis, ces décorporants ont reçu une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) et sont donc des médicaments à part entière : ils sont suivis comme tous les médicaments et ne peuvent être délivrés que par ordonnance.
Selon ce spécialiste, il est important de connaître précisément l’élément contaminant (ou le toxique). En effet, chaque toxique a une cible différente dans le corps humain et une structure chimique bien spécifique : à chaque toxique correspond un traitement différent.
Exemples :
- Le plutonium attaque les os et le foie ; un traitement par DTPA doit donc être appliqué.
- Le césium attaque les muscles et on appliquera un traitement au Bleu de Prusse (notez que le Bleu de Prusse est une substance à base de cyanures !)
- L’uranium va cibler les reins puis les os, alors que la forme uranyle (composé de l’uranium) va remplacer le fer des globules rouges.
- L’iode, bien connue du grand public, ciblera la thyroïde et le traitement ne se composera pas d’un décorporant (ou chélateur) mais consistera à donner de l’iode non radioactif pour saturer le corps en iode et « pousser » l’iode radioactif à être éliminer du corps.
Parmi les effets secondaires des traitements, on note parfois des nausées, des pertes d’appétit, des pertes de poids, des maux de tête… La formule sanguine est surveillée, de même que les paramètres biologiques se rapportant au foie et aux reins.
Mais l’effet secondaire systématique est que les décorporants (ou chélateurs) entrainent nécessairement des carences en oligo-éléments. En effet, ces décorporants entrainent hors du corps beaucoup d’autres métaux, y compris des oligo-éléments nécessaires au bon fonctionnement du corps humain : calcium, magnésium, zinc, manganèse, or, cuivre, argent, cobalt…
Avec chaque traitement décorporant, il est donc systématiquement administré des oligo-éléments. Des ionogrammes (analyses dosant les oligo-éléments) sont réalisés pendant toute la durée du traitement et après.
J’ai d’ailleurs rencontré une personne qui avait eu un traitement d’une durée d’un an et qui a souffert de ces carences. Sa femme m’a parlé des conséquences sur le foie de son mari notamment et il a fallu environ 1 an de supplémentation après l'arrêt du traitement décorporant. (Le mari était peu causeux… c’est donc sa femme qui s’est volontiers confiée.

Un guide national d’intervention médicale a été édité par l’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) pour définir les traitements à administrer en cas de contamination radiologique, pour chaque radionucléide.
http://www.asn.fr/Informer/Actualites/V ... -nucleaire

Même si ces traitements ont été établis pour des éléments radioactifs, ils sont valables pour leurs équivalents non radioactifs :
- Le traitement du mercure radioactif peut être administré pour le mercure non radioactif.
- Le traitement du plomb radioactif peut être administré pour le plomb non radioactif.
- Etc.
Voici les principaux décorporants (ou chélateurs) administrables et les éléments décorporables associés :
- Le Bleu de Prusse (ferrocyanure de fer) : césium, thallium, indium…
- DTPA (acide diéthylènetriamine penta-acétique) : américium, californium, cérium, chrome, cobalt, curium, erbium, europium, fer, gallium, iridium, lanthane, manganèse, plutonium, praséodyme, prométhéum, ruthénium, samarium, scandium, thorium, ytterbium, yttrium, zinc, zirconium
- Dimercaprol : antimoine, arsenic, bismuth, cadmium, mercure, nickel, or, polonium, …
Nota : le dimercaprol peut être remplacé par du DMSA dont la structure chimique est proche, mais seul le dimercaprol est “patenté” pour la médecine nucléaire.
Légende :
- En vert : les éléments qui ne sont pas toxiques (sauf s’ils sont radioactifs!) et qui sont même indispensables au bon fonctionnement du corps
- En orange : les éléments qui peuvent parfois être présents en trop grandes quantités dans le corps, mais pour lesquels une quantité minimale est nécessaire.
- En rouge : les éléments toxiques (non radioactifs !) pouvant être rencontrés chez des lymés.
Conclusion :
1. Chaque toxique a une cible précise dans le corps humain et à chaque toxique doit être administré un décorporant (ou chélateur) précis.
2. Une décorporation (ou une chélation) doit être suivie médicalement par des analyses (formule sanguine, paramètres du foie et des reins).
3. Une décorporation (ou une chélation) élimine nécessairement différents éléments et entraine nécessairement des carences en oligo-éléments qui doivent être impérativement comblées. De plus, un ionogramme doit être réalisé durant toute la durée du traitement, ainsi qu’après le traitement.
Personnellement, lorsque je lis que certaines personnes voient leur lyme « flamber » après une détox, je me demande si cette flambée n’est pas la conséquence de carences en oligo-éléments induites par la détox. En effet, certains éléments jouent un rôle crucial dans le soutien du système immunitaire (zinc, cuivre, argent, or, cobalt, manganèse…).
Enfin, il ne faut oublier que les personnes contaminées par des éléments radioactifs et suivis par ce spécialiste sont au départ des personnes en bonne santé, c’est-à-dire avec un système immunitaire normal et a priori sans carences en oligo-éléments, ce qui n’est absolument pas le cas des lymés.
Re: Métaux lourd et Lyme
framboise , merci ,la grosse buveuse de thé que je suis va creuser le sujet , eventuellement rechercher un labo pour analyser le thé que je bois quotidiennement .
J'ai lu (je vais préciser le temps de retrouver mes sources...) que suite à ces analyses la législation chinoise avait changé (2004 ?) afin de rebaisser les taux de ML ....le mieux serait de pouvoir vérifier par soi meme ...
Lisa B , merci également pour ces "détails" , qui font froid dans le dos .....c'est fou tout ce que l'on doit "décorporer " ....et éviter "d'incorporer " ....
J'ai lu (je vais préciser le temps de retrouver mes sources...) que suite à ces analyses la législation chinoise avait changé (2004 ?) afin de rebaisser les taux de ML ....le mieux serait de pouvoir vérifier par soi meme ...
Lisa B , merci également pour ces "détails" , qui font froid dans le dos .....c'est fou tout ce que l'on doit "décorporer " ....et éviter "d'incorporer " ....