tout le monde a compris que la neuroborréliose chronique agissait en intoxiquant le système immunitaire et pas en gagnant une bataille rangée classique (à la manière de la variole ou du choléra...) contre des bataillons d'anticorps. Donc, très clairement la quantité d'anticorps présent ne montre rien dans cette maladie, puisque leur absence ou leur faible densité peut être due, soit à l'absence de pathologie, soit au contraire au caractère avancé de cette pathologie et de l'intoxication correspondante du SI.Sociando a écrit : ....
Là Vlad, j'ai du mal à te comprendre (une fois de plus !). Le diagnostic dit indirect (recherche des anticorps) est effectivement inadapté ou peu adapté à apprécier le caractère évolutif ou cicraticiel d'une infection.
Les gens qui n'ont pas compris ces évidences, ou qui font semblant de ne pas les avoir compris, sont soit des nulls soit des assassins. Dans ces 2 cas, je considère qu'ils devraient étre radiés de toute les fonctions qu'ils occupent éventuellement dans le système de santé.
On discutait ici du pb. des sérologies négatives en cas de borréliose chronique, qui sont extrèmement fréquentes aujourd'hui et qui semblent poser certains problèmes administratifs ou médiatiques, et pas du tout d'éventuels faux positifs, qui paraissent très rares dans la borréliose et qui ne posent de problèmes à personne.Sociando a écrit : Sachant cela, qu'est ce que tu veux comme conclusion de la part d'un labo devant une sérologie positive ??
continue sur le thème : je suis dislexique donc j'ai la neuroborréliose, donc il faudrait m'enfermer immédiatement en psychiatrie et m'interdire absolument de prétendre perturber la bonne soupe des multinationales de la pharmacie et de leurs amis.Sociando a écrit : a propos, goule s'écrit comme cela !
surtout le VIH c'est un nouveau virus, cà met les labos et les toubibs en vedette, c'est scientifique et çà ne peut que développer le business sans réduire la part de personne (on en oublierait presque que c'est une maladie fabriquée de toutes pièces par des virologues irresponsables....)....Sociando a écrit : Je te prie quand même de croire que les industriels se cassent le c.. pour essayer d'être le plus performant possible mais on est pas dans le même cas de figure que pour le VIH.
Alors que la borréliose chronique, çà risque de faire déserter les salles d'attente des psys et de réduire le business global, çà fait tâche parce que çà existe depuis toujours et que toutes les sommités du secteur se sont plantés grave sur ce sujet depuis le début (Charcot, Freud, Lacan...), et en plus çà frappe les gamins qui se promènent dans les bois et pas les "populations à risque".
Conclusion, c'est pas bon ni pour le business ni pour la communication, donc occupons nous du VIH et laissons crever ces chieurs....
aujourd'hui on a surtout l'impression que l'inadéquation complète et bien connue aujourd'hui des réactifs actuels par rapport aux mécanismes véritables de la borréliose chronique n'empèche pas une bande d'assassins de se foutre de notre goule dans les grandes largeurs en prétendant que leurs tests capillaires sont idéaux pour détecter les corps aux pieds, et que si effectivement çà n'a pas l'air de marcher aujourd'hui, il faut surtout ne rien faire d'autre puisqu'ils sont certains que çà va marcher dés demain matin....Sociando a écrit : concrnant le manque de sensibilité des réactif, même s'il peut être réel, il ne doit pas être non plus un exutoire !!