Re: Lyme et traumatisme psychologique
Posté : 06 juin 2019 23:13
Je pense que c’est un tout, c’est une pelote.
Comme « un plâtre sur une jambe de bois »
C’est la difficulté de ne pas avoir une prise en charge globale. Quelqu’un qui aurait un peu de hauteur pour être force de proposition pour qu au moment où on se sent prêt, on avance à côté du traitement.
Lorsque le Médecin Lyme a dit, à mon fils, non pour le kiné et a conseillé la marche, je savais que cela n irait pas ainsi parce que la marche demande un effort personnel alors qu un rendez-vous demande de respecter un horaire : une contrainte qui cadence la journée, une prise en charge corporelle, une interaction sociale, et cerise sur le gâteau, une ré appropriation du corps malmené par la maladie et le traitement.
Cela aurait pu être l ostéopathe aussi ou un autre truc au goût de chacun.
Si on se fît aux témoignages, il y a bien un lien entre la charge infectieuse et des troubles divers.
Je ne pensais pas que mon fils, shooté avec son traitement, arriverait à faire le point, à prendre du recul sans une aide psychologique. L hiver dernier, la psychologue a mis un temps très long, trop long par rapport aux prises en charge dans les centres publics ( équivalent d’un CMPP pour étudiant) : elle ne comprenait pas pourquoi cela n avançait pas, pourquoi mon fils ne se sentait pas prêt pour une thérapie.
Évidemment la thérapie avait pour but de faire partir les brûlures. Alors que finalement les brûlures ont disparues ( je sais bien qu’elles peuvent revenir) grâce au traitement......Chercher l’erreur......
C’est comme poser du papier peint sur un mur humide : ça fait joli pendant quelques mois.
Comme « un plâtre sur une jambe de bois »
C’est la difficulté de ne pas avoir une prise en charge globale. Quelqu’un qui aurait un peu de hauteur pour être force de proposition pour qu au moment où on se sent prêt, on avance à côté du traitement.
Lorsque le Médecin Lyme a dit, à mon fils, non pour le kiné et a conseillé la marche, je savais que cela n irait pas ainsi parce que la marche demande un effort personnel alors qu un rendez-vous demande de respecter un horaire : une contrainte qui cadence la journée, une prise en charge corporelle, une interaction sociale, et cerise sur le gâteau, une ré appropriation du corps malmené par la maladie et le traitement.
Cela aurait pu être l ostéopathe aussi ou un autre truc au goût de chacun.
Si on se fît aux témoignages, il y a bien un lien entre la charge infectieuse et des troubles divers.
Je ne pensais pas que mon fils, shooté avec son traitement, arriverait à faire le point, à prendre du recul sans une aide psychologique. L hiver dernier, la psychologue a mis un temps très long, trop long par rapport aux prises en charge dans les centres publics ( équivalent d’un CMPP pour étudiant) : elle ne comprenait pas pourquoi cela n avançait pas, pourquoi mon fils ne se sentait pas prêt pour une thérapie.
Évidemment la thérapie avait pour but de faire partir les brûlures. Alors que finalement les brûlures ont disparues ( je sais bien qu’elles peuvent revenir) grâce au traitement......Chercher l’erreur......
C’est comme poser du papier peint sur un mur humide : ça fait joli pendant quelques mois.